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Nom: Mithrandìr
Prénom: Altáriël
Age:19 ans
Depuis combien de temps faîtes vous partie des elfes-chasseurs? 4 ans
Caractères et goûts (au - 5 lignes): Altáriël est une jeune fille calme qui n’est pas solitaire mais qui préfère parfois être seule. Ayant perdu ses parents très jeune, elle est très compatissante et compréhensive. Elle cache ses émotions derrière un masque d’indifférence et a appris à surmonter ses peurs. Elle fait corps avec la nature et adore les animaux, qu’elle sait apprivoiser et persuader de lui obéir, car elle est très persuasive. Elle a horreur des ordres, et elle n’en fait qu’à sa tête si elle pense que ce qu’on lui dit de faire n’est pas bien. C’est une excellente tacticienne, patiente et réfléchie mais buté et têtue, pire qu’un troupeau de mule ! Comme il faut être obéissant pour entrer dans les Elfes Chasseurs, elle adopte un semblant d’obéissance, tout en faisant ce qui lui plait. Elle est très franche et a horreur du mensonge sous toute ses formes, mais, étant une elfe, elle sait jouer avec les mots d’une telle façon que son interlocuteur ne sait jamais vraiment ce qu’elle veut dire exactement et ainsi ne peux l’accuser de mentir.
Goûts vestimentaires (au – 5 lignes): Altáriël est relativement grande, très mince et dotée d’une force qu’on n’imagine pas au premier abord. Ses profond yeux de cristal sont sérieux, tout en gardant même dans les pires situations une lueur malicieuse. Ses longs cheveux couleur de miel sont tressés et retenus par des feuilles ou des bandes d’écorce. Les oreilles caractéristiques des elfes bordent un visage lisse aux sourcils fins et aux ravissantes fossettes. Tout ses habits sont faits de feuilles ou d’écorce qu’elle tire de divers arbres et qu’elle noue en utilisant de fines lianes ou autre élément naturel. Ses rares habits de laines sont faits à partir de poils trouvés ici et là lors de vagabondage en forêt et rassemblés avec patience. Ses habits sont un camouflage naturel quand elle se déplace, aussi bien de jours que de nuit. Elle a toujours une petite sacoche dans laquelle elle garde ses « outils » de chasseuse et quelques objets de valeurs. Elle est extrêmement souple et agile. Elle grimpe, cours, saute, se faufile partout et sur tout les terrain. Elle a une démarche souple et fluide, féline, qui lui permet de se déplacer sans problèmes dans la forêt. Sa vision nocturne, son odorat, son toucher et son ouïe sont mis à rude épreuves tout les jours, lors de ses entrainements quotidiens. Cela lui permet de distinguer de petits objets éloigner, de sentir n’importe quelle odeur à 100 mètres, de sentir la plus petite aspérité dans la roche ou encore d’entendre battre le cœur d’une fourmi à 2 mètres…
Histoire ( au moins 10 lignes): je suis née un soir de pleine lune. Mais pendant que je poussait mon premier cri, ma mère rendait son dernier souffle, ce qui rendit mon père fou de douleur. Les premières années, tout se passa bien, j’étais un bébé potelé, puis une petite fille curieuse, mais c’est lors de ma 11ème année que ça commença à aller mal. Plus ça allait et plus je ressemblait à ma mère, ce qui ravivait le chagrin causé par la mort de ma mère, que mon père avait quelque peu réussi à oublier. Il me parlait souvent d’elle, avant. Il me racontai leur rencontre, leur sortie, leurs voyages, leur joie quand ils avaient appris qu’elle était enceinte. Mais depuis cette fameuse année, il se ferma comme une huitre. Il ne parlait plus, et noyai son chagrin dans l’alcool, sans penser une seule seconde à moi. Bon je dois avouer qu’il allait vraiment mal, et que je lui en ai voulu, mais que voulez-vous ! C’est normal, j’étais sa fille après tout, et je pensais qu’il pouvait reporter sur moi l’amour qu’il ne pouvait plus donner à ma mère. Et un jour, ce qui devait arriver arriva : nous nous disputâmes, et il partit boire un verre au bar. Quoique, en y repensant, il avait du boire plus d’un verre, enfin bref, ce soir là, il déclencha une bagarre dans le bar, au cours de laquelle il fut tué. Pendant 2 ans, je passait mon temps à pleurer et je ne voyais plus personne. Et puis, un jour, je découvris une lettre, cachée sous mon oreiller. Je ne l’avait pas trouvée plus tôt car depuis la mort de mon père, je dormais tout les soir sur le canapé du salon. Cette lettre expliquait que mon père allait déclencher une bagarre dans le bar et qu’il avait engagé un homme qui serait dans le bar pur le tuer au cours de la bataille.
Folle de rage, je partis dans la forêt, décidée à mourir. Mais je survécus. Pendant près de 2 ans, je vécus en sauvage dans la forêt. J’appris à me débrouiller et c’est là que j’acquis ma patience et mon amour des animaux. Et puis, le jour de mes 15 ans, je le savais car j’avais pris soin de compter les jour passés dans la forêt, j’allai me présenter pour faire partie des Elfes Chasseurs. Me jugeant sans doute frêle et pas apte à le devenir, on me fit passer de tout simples exercices que je réussis sans problème. Le chef des Elfes Chasseurs me fit donc passer un test au niveau supérieur. Voyant que je réussissais, il me fit faire des exercices de plus en plus durs. Voyant que je les surmontait tous, il me donna un exercice très dur, pour tester ma résistance. Je tint tête quelque minutes, puis m’effondrait au sol, terrassée. Je perdis connaissance et me réveillait quelques jours plus tard. On m’appris que j’avait été sélectionnée et que j’avais fourni un remarquable effort. A partir de ce jour, je m’entrainais quotidiennement, car pour douée que j’étais, je n’étais pas la plus forte et je dus me tailler une réputation pour être acceptée parmi eux. Au bout de quelques mois cependant, tout le monde m’appelait petite sœur, car j’étais la plus petite et la plus frêle d’entre nous, mais j’avais prouvé ma valeur. Depuis quelques temps, avec les Vampyrs, les Démons et les humains qui nous menacent, nous avons beaucoup de travail.
Prénom: Altáriël
Age:19 ans
Depuis combien de temps faîtes vous partie des elfes-chasseurs? 4 ans
Caractères et goûts (au - 5 lignes): Altáriël est une jeune fille calme qui n’est pas solitaire mais qui préfère parfois être seule. Ayant perdu ses parents très jeune, elle est très compatissante et compréhensive. Elle cache ses émotions derrière un masque d’indifférence et a appris à surmonter ses peurs. Elle fait corps avec la nature et adore les animaux, qu’elle sait apprivoiser et persuader de lui obéir, car elle est très persuasive. Elle a horreur des ordres, et elle n’en fait qu’à sa tête si elle pense que ce qu’on lui dit de faire n’est pas bien. C’est une excellente tacticienne, patiente et réfléchie mais buté et têtue, pire qu’un troupeau de mule ! Comme il faut être obéissant pour entrer dans les Elfes Chasseurs, elle adopte un semblant d’obéissance, tout en faisant ce qui lui plait. Elle est très franche et a horreur du mensonge sous toute ses formes, mais, étant une elfe, elle sait jouer avec les mots d’une telle façon que son interlocuteur ne sait jamais vraiment ce qu’elle veut dire exactement et ainsi ne peux l’accuser de mentir.
Goûts vestimentaires (au – 5 lignes): Altáriël est relativement grande, très mince et dotée d’une force qu’on n’imagine pas au premier abord. Ses profond yeux de cristal sont sérieux, tout en gardant même dans les pires situations une lueur malicieuse. Ses longs cheveux couleur de miel sont tressés et retenus par des feuilles ou des bandes d’écorce. Les oreilles caractéristiques des elfes bordent un visage lisse aux sourcils fins et aux ravissantes fossettes. Tout ses habits sont faits de feuilles ou d’écorce qu’elle tire de divers arbres et qu’elle noue en utilisant de fines lianes ou autre élément naturel. Ses rares habits de laines sont faits à partir de poils trouvés ici et là lors de vagabondage en forêt et rassemblés avec patience. Ses habits sont un camouflage naturel quand elle se déplace, aussi bien de jours que de nuit. Elle a toujours une petite sacoche dans laquelle elle garde ses « outils » de chasseuse et quelques objets de valeurs. Elle est extrêmement souple et agile. Elle grimpe, cours, saute, se faufile partout et sur tout les terrain. Elle a une démarche souple et fluide, féline, qui lui permet de se déplacer sans problèmes dans la forêt. Sa vision nocturne, son odorat, son toucher et son ouïe sont mis à rude épreuves tout les jours, lors de ses entrainements quotidiens. Cela lui permet de distinguer de petits objets éloigner, de sentir n’importe quelle odeur à 100 mètres, de sentir la plus petite aspérité dans la roche ou encore d’entendre battre le cœur d’une fourmi à 2 mètres…
Histoire ( au moins 10 lignes): je suis née un soir de pleine lune. Mais pendant que je poussait mon premier cri, ma mère rendait son dernier souffle, ce qui rendit mon père fou de douleur. Les premières années, tout se passa bien, j’étais un bébé potelé, puis une petite fille curieuse, mais c’est lors de ma 11ème année que ça commença à aller mal. Plus ça allait et plus je ressemblait à ma mère, ce qui ravivait le chagrin causé par la mort de ma mère, que mon père avait quelque peu réussi à oublier. Il me parlait souvent d’elle, avant. Il me racontai leur rencontre, leur sortie, leurs voyages, leur joie quand ils avaient appris qu’elle était enceinte. Mais depuis cette fameuse année, il se ferma comme une huitre. Il ne parlait plus, et noyai son chagrin dans l’alcool, sans penser une seule seconde à moi. Bon je dois avouer qu’il allait vraiment mal, et que je lui en ai voulu, mais que voulez-vous ! C’est normal, j’étais sa fille après tout, et je pensais qu’il pouvait reporter sur moi l’amour qu’il ne pouvait plus donner à ma mère. Et un jour, ce qui devait arriver arriva : nous nous disputâmes, et il partit boire un verre au bar. Quoique, en y repensant, il avait du boire plus d’un verre, enfin bref, ce soir là, il déclencha une bagarre dans le bar, au cours de laquelle il fut tué. Pendant 2 ans, je passait mon temps à pleurer et je ne voyais plus personne. Et puis, un jour, je découvris une lettre, cachée sous mon oreiller. Je ne l’avait pas trouvée plus tôt car depuis la mort de mon père, je dormais tout les soir sur le canapé du salon. Cette lettre expliquait que mon père allait déclencher une bagarre dans le bar et qu’il avait engagé un homme qui serait dans le bar pur le tuer au cours de la bataille.
Folle de rage, je partis dans la forêt, décidée à mourir. Mais je survécus. Pendant près de 2 ans, je vécus en sauvage dans la forêt. J’appris à me débrouiller et c’est là que j’acquis ma patience et mon amour des animaux. Et puis, le jour de mes 15 ans, je le savais car j’avais pris soin de compter les jour passés dans la forêt, j’allai me présenter pour faire partie des Elfes Chasseurs. Me jugeant sans doute frêle et pas apte à le devenir, on me fit passer de tout simples exercices que je réussis sans problème. Le chef des Elfes Chasseurs me fit donc passer un test au niveau supérieur. Voyant que je réussissais, il me fit faire des exercices de plus en plus durs. Voyant que je les surmontait tous, il me donna un exercice très dur, pour tester ma résistance. Je tint tête quelque minutes, puis m’effondrait au sol, terrassée. Je perdis connaissance et me réveillait quelques jours plus tard. On m’appris que j’avait été sélectionnée et que j’avais fourni un remarquable effort. A partir de ce jour, je m’entrainais quotidiennement, car pour douée que j’étais, je n’étais pas la plus forte et je dus me tailler une réputation pour être acceptée parmi eux. Au bout de quelques mois cependant, tout le monde m’appelait petite sœur, car j’étais la plus petite et la plus frêle d’entre nous, mais j’avais prouvé ma valeur. Depuis quelques temps, avec les Vampyrs, les Démons et les humains qui nous menacent, nous avons beaucoup de travail.